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ARTISTES PLASTICIENS

CHARLES  BÉZIE

 

Né en 1934 en Loire-Atlantique, Charles Bézie suis les cours de l’Académie Jullian à Paris puis les Beaux-Arts de Reims. Dans un premier temps, il s’inspire des œuvres de Malevitch et Mondrian, en tentant “d’effacer” la géométrie par un réseau de fines lignes et de recherche graphiques. Au cours des années suivantes, son travail passa par plusieurs périodes où le trait s’épaissit jusqu’à devenir bande, pour aboutir au “Quadrille”. Il travaille particulièrement sur le rythme, que ce soit irréguliers avec “Gradations” où les carrés ont leur surface divisée par des traits, ou bien réguliers avec “Cadences” où les rangées de carrés sont soulignés seulement haut et bas. Ces œuvres forment chacune un tout parfaitement homogène.

LOUISA  BURNETT-HALL​


Née en 1965 dans le sud de l’Angleterre, Louisa Burnett-Hall étudie à l’Ecole des Beaux-Arts à Edimbourg ou elle découvre les couleurs riches et contrastées du paysage Ecossais. Profondément inspirée par ces paysages marqués de traces humaines, Burnett-Hall recherche l’histoire humaine derrière les apparences et développe dans ses toiles une passion pour le mouvement. Depuis lors, elle élabore un travail sur toile, papier et photographie à partir de la rythmique des paysages. En 1990 elle quitte son pays natal pour s’installer à Paris ou elle reçoit la Médaille de la Ville de Paris en 2009. Les scènes aquatiques avec leurs lignes et reflets sont aujourd’hui sa principale source d’inspiration.
Ses œuvres sont exposes en Angleterre et en France ainsi que dans maintes collections privées françaises et internationales.

GIANCARLO  CAPORICCI

Né en 1946 à Naples en Italie, Giancarlo Caporicci fait l’Ecole des Beaux Arts de Naples et commence son parcours professionnel en enseignant l’histoire de l’art et du costume en Italie. Il mène parallèlement des projets d’architecture, de décoration de théâtres, de création de décors scéniques en France et en Italie. Caporicci est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’art et la sculpture contemporaine, particulièrement sur le « constructivisme », « l’abstraction géométrique » et «l’inobjectivité construite».
Fidèle à son principe des tensions dynamiques, ses compositions sont entièrement modulables, mobiles, offrant à l’imagination du spectateur une foule de possibilités plastiques. Les fils tendus, peints, contraignant les bandes plastiques à se plier, ainsi que les tiges qui les tendent, découpent l’espace, laissant alors apparaitre la cohérence et la plasticité de son style.

MARCOS CEI
 

 

Né le 14 mars 1955 à Mendoza, Argentine, Marcos Cei s'est installé a Paris où  il  vit et travaille depuis 1977. Il a étudié l'urbanisme  et l'architecture à Bordeaux, le dessin et la sculpture à l'Academie des Beaux Arts de Florence et obtenu une Licence d'Arts Plastiques et d'Histoire de l'Art à la Sorbonne.

Cei à reçu en 2008, le PRIX HENRI LEFUEL en Sculpture, décerné par l'Académie des Beaux Arts de Paris.

Ses sculptures sont exposées dans diverses collections privées en Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Etats-Unis, France, Italie, Norvege, Portugal, Suisse...

GENEVIEVE  CLAISSE
 

 

Régulièrement exposée à Paris, Geneviève Claisse est née à Quiévy en 1935 et s’est lancée dans l’art dans les années 1950 après avoir été confrontée à l'abstraction géométrique.  Elle a créé durant ces dernières décennies une œuvre à la fois intemporelle et autonome, basée sur l’harmonie entre couleurs, formes et rythmes. Au cours de la seconde moitié des années 1960, elle s’intéresse intensivement au cercle dont la forme parfaite est synonyme de pureté, de perfection et de joie. Elle parvient à créer une forte impression de mouvement et de rotation, en particulier lorsque ses formes circulaires se superposent de manière à la fois originale et excentrique.
Elle travaille à la fois en acrylique, gouache, sérigraphie ou encore en relief et en sculpture afin de développer un rythme, une profondeur de champ et une tension dans ses œuvres.

TERRY HAASS



Née en 1923 à Cesky Tesin, en Tchécoslovaquie. D’origine juive, Terry Haass doit fuire son pays en 1939 à l’arrivée des Nazis. Son exil aux Etats-Unis lui permet de découvrir la peinture, mais c’est à Paris qu’elle trouve le domicile de sa seconde vie. Dans les années 50, elle croise les plus grands (de Picasso à Léger, en passant par les abstraits, qu’elle rejoint dans son parcours pictural) et parfait sa technique en arpentant divers modes d’expression artistique. De la peinture à la gravure (aquatinte ou carborundum), de la sculpture sur métal à des œuvres en cristal, des costumes d’Opéra à des collages inspirés d’archéologie, elle parcour, elle découvre, elle apprend, tentant toujours au final de réunir ses principales aspirations qui sont le geste et l’union des trois éléments : lumière, terre, espace. 

De nombreux musées nationaux européens et américains ont acquis ses œuvres depuis les années soixante.

 

PASCAL PILATE

 

Pascal Pilate s'inscrit sur la scène de l'Art contemporain dès les années 80. Il participe à des expositions de groupes et personnelles. Son travail pictural pendant ces années s'articule autour de la matière brute, symbole de vie et de l'emprunte que le temps y laisse. Dans les années 90, Pascal Pilate oriente son expression vers une matière vivante : le corps humain. C'est toujours dans un souci de modeler la matière pour aboutir à une nouvelle harmonie qu'il transpose ici sa créativité d'artiste au niveau de l'individu même. Son inventivité l'amène à développer une approche thérapeutique. Son inventivité l'amène à développer une approche thérapeutique nouvelle.

Il précise son concept : un ensemble déterminé de toiles, une seule couleur, des espaces de toile vierge et toujours de la matière des traces, incrustations, ajouts, des oppositions plus ou moins franches toile de fond. Un travail sur la mémoire, la trace, l'empreinte, ou comment nous nous construisons tous universellement à partir d'une même mémoire.

GUILLAUME PIECHAUD



Diplômé de l'Ecole Boulle, Guillaume Piechaud vit et travaille dans la region parisienne. Ses oeuvres sont conçues et exécutées avec un mélange d'aérodynamisme et de courbes voluptueuses afin d'atteindre une fluidité des formes qui procure au spectateur l'envie irrésistible de toucher ce matériau inattendu. Dans les mains de Piechaud, les meubles deviennent bijoux.





 

RICARDO SANTERINI

Ricardo Santerini est né en Uruguay, à Montevideo en 1954. Très tôt, il s’est destine à une carrière artistique. Il a étudié à l'Iktinus Institute de Buenos Aires, puis a fait ses armes dans les ateliers du sculpteur Octavio Podesta et du peintre Guillermo Fernandez à Montevideo. Il s'est rendu ensuite en Europe, à Bruxelles puis Paris, dans les années 1980. Il a également travaillé en Italie et en Suisse.

Les artistes et les courants artistiques qui l’inspirent et l’influencent sont aussi variés que Giacometti, Picasso, l’impressionnisme, les arts primitifs ou le futurisme italien.

Ricardo Santerini rejette le principe de la série, et aime changer de techniques et de matériau régulièrement. De fait, il ne travaille la pierre que depuis 2008, sa première œuvre, Colonne, en granit, étant une commande de Lili Meier pour sa galerie d’art en Suisse. Ricardo Santerini a donc une expérience variée de l’art de la sculpture, travaillant aussi bien la terre, le bronze, le fer, que la pierre, sur de grands comme de petits formats.

Sa démarche se fonde sur la recherche de l’intériorité du matériel dans le cas de la pierre : elle renferme une pureté que l’artiste se doit de découvrir et de mettre à jour petit à petit. L’artiste définit un volume et des formes, puis il s’attache à la géométrie de la composition. L’aspect esthétique final compte énormément, l’œuvre doit être belle.

Aujourd’hui, Ricardo Santerini est basé en Andalousie, dans la province d’Almeria. Les villages aux alentours connaissent une longue tradition de la pierre. En effet, les carrières de Macael ont fourni les matériaux nécessaires à la construction de l’Alhambra. La pierre, d’un blanc doré, présente les qualités recherchées par Ricardo Santerini.

MASSIMO  SILVERI

Né à Rome en 1950, Silveri vit et travaille à Paris depuis 1977. Il a fait des études cinématographiques (photographie et montage) à la CIAC de Rome. Le travail photographique le mène à réfléchir sur l’image par elle-même. Son interprétation de l’abstraction contemporaine est influencée par les théories de Goethe dans Traite des couleurs sur le concept de la couleur subjective. Ces théories ont eu un poids déterminant sur le travail de Silveri.
Une des préoccupations principales de Silveri aujourd’hui consiste en l’utilisation minimaliste des moyens graphiques et picturaux pour mettre en évidence la complexité perceptive.

TEURK

Né le 12 avril 1976 à Issy les Moulineaux, Valentin BECHADE, dit TEURK, est artiste peintre, sculpteur, scénographe et performeur.
Issu de la seconde génération de graffeurs, la rue est sa seule école et reste son espace privilégié d'exposition. En 1995, il se rend à Beyrouth où il réalise une série de photos révélant les stigmates d'une ville criblée de balles. Ce voyage marque le début d'une suite de projets artistiques qui le conduiront dans des pays en proie à de terribles conflits : en Bosnie, peu après la fin de la guerre, puis à Hébron et Jérusalem Est.
On observe un renouvellement constant de ses techniques et de ses supports. Il emprunte fréquemment les médias de la société industrielle comme l’affiche, la vidéo et la photo. Aujourd’hui, il s’intéresse au métal dans tous ses états et plus particulièrement le béton. À travers lui, il interroge les enjeux humains et sociétaux, soucieux d'entretenir l'imaginaire aussi bien que l’esprit critique.
Toujours en quête incessante, Teurk marie son attirance pour l’insolite et la science, il s’empare des volumes et de l’espace et met en scène la lumière livrant au gré du jour la dimension poétique de ces œuvres intemporelles.

 

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